Cette étude initiale, présentée à l’Assemblée Générale Extraordinaire du Cercle Guimard du 4 juin 2016, sera complétée ultérieurement par une recherche plus poussée sur les nombreux « petits arrangements avec la vérité » que l’on peut trouver dans les planches de ce portfolio.
L’histoire du Castel Béranger débute en 1894 quand Hector Guimard, 27 ans à l’époque, reçoit la commande de Madame Veuve Fournier d’un immeuble de rapport à construire au 12 rue La Fontaine à Paris (le numéro oscillera ensuite entre le 12 et le 16, la plaque en fonte fixée sur la façade se fixant sur le 14). Sa construction s‘étale de 1895 à 1897, et connait des modifications radicales du second œuvre à la suite du séjour de Guimard à Bruxelles, où il fait la rencontre de Victor Horta et d’architectures revendiquées comme modernes
Avec son édification, Guimard rencontre le succès : il tient à faire l’évènement autour de ce qu’il considère être un véritable manifeste artistique. La presse se fait alors l’écho d’une architecture qui ne passe pas inaperçue et qui d’ailleurs se doit d’être remarquée. Le 28 mars 1898, le Castel Béranger est lauréat du premier concours de façades institué par le Conseil municipal de la ville de Paris qui récompense ceux qui veulent faire de Paris, une ville à la fois belle et moderne à l’orée du XXe siècle. Enfin, le 4 avril s’ouvre une exposition organisée dans les salons du Figaro consacrée à l’édifice et à son architecte.
Dans le but de capitaliser un certain succès médiatique, ainsi que de faire la promotion de son talent, Hector Guimard fait paraître en 1898 un luxueux album de 65 planches en couleurs présentées dans un emboîtage conçu spécialement et qui présente la somme considérable du travail qui l’avait monopolisé pendant plus de deux ans. L’éditeur est la librairie Rouam qui édite également la Revue des arts décoratifs. Son titre original est : L’Art dans l’habitation moderne/Le Castel Béranger. Par commodité on le désignera sous le terme du portfolio du Castel Béranger.
Dès les premières planches, Guimard prend soin de citer toutes les sous-traitants avec lesquels il a travaillé et qui ont donné corps aux fruits de son imagination. Une démarche respectueuse qu’il prendra soin de perpétuer tout au long de sa carrière.
Les planches d’illustrations sont de grande qualité. Leurs reproductions sont tirées de clichés photographiques légèrement imprimés et qui reçoivent un ajout de couleurs transparentes apposées au pochoir par un procédé mécanique, mais néanmoins onéreux, dit « fac-similé d’aquarelle ».
Guimard y présente de façon très détaillée l’architecture extérieure et intérieure ainsi que les mosaïques, les ferronneries, les fontes, les revêtements intérieurs (papiers peints, lincrustas Walton, cordolovas), les tapis d’escalier, les vitraux, les cheminées, les céramiques, les staffs et les éléments de quincaillerie (poignées de porte, sonnettes, crémones, etc.)
Il est intéressant de noter que, dans ses dernières planches, ce portfolio montre également des pièces de mobilier. Mais seuls les meubles des toilettes font alors partie de l’équipement livré avec les appartements mis en location, au même titre que les cheminées et les miroirs.
Néanmoins, par goût personnel et à titre quasi-publicitaire, il équipe son appartement et son agence au Castel, de différentes pièces qu’il n’hésite pas à présenter comme ce qui doit meubler une architecture moderne. Le trépied et son cache pot, ou bien le porte-manteau et le tabouret, trouvent leur place dans cette œuvre d’art totale.
Mais d’autres meubles n’y ont jamais figuré. C’est en particulier le cas d’un canapé-vitrine et d’un meuble-cheminée, aujourd’hui visibles au musée d’Orsay, et qui sont issus de la propriété Roy des Gévrils.
Le miroir en triptyque avec ses flambeaux a été dessiné pour la propriétaire du Castel Béranger, Madame Veuve Fournier. Son dessin, daté du 27 octobre 1897, indique qu’il est destiné à l’appartement qu’elle occupait alors au 18 rue Yvon dans le XVIe arrondissement. Il n’intégrera sans doute le Castel Béranger que lorsqu’elle viendra s’y installer, au troisième étage.
Quant à la grande bibliothèque présentée à la planche 63, il est fort probable que, malgré la présence d’une frise de papier peint Guimard, elle n’était ni dans un appartement du Castel Béranger, ni dans l’agence d’architecture de Guimard, mais plutôt chez Nozal père ou fils.
La dernière planche présente quelques vases en grès et en bronze sans rapport avec la décoration intérieure des appartements du Castel Béranger. Hector Guimard a donc eu l’intelligence de profiter de l’occasion pour diffuser un panorama de ses productions d’un style totalement novateur et jamais vu.
Ce portfolio est tout d’abord lancé en souscription au prix de 60 F-or au printemps 1898. Le bulletin de souscription qui paraît dans plusieurs revues d’art décoratif annonce une parution pour le 15 juin. Mais celle-ci n’a finalement lieu qu’en novembre 1898, avec un prix public qui passe alors à 80 F-or. En accédant à une requête formulée par Guimard le 29 décembre, la Ville de Paris en acquiert huit exemplaires pour certaines de ses bibliothèques.
Il semble que le prix continua d’augmenter puisque des publicités plus tardives indiquent un prix passé à 100 F-or, prix également cité par Georges Vuitton dans l’hommage qu’il rend à Hector Guimard en novembre 1932 (voir l’article d’Olivier Pons à ce sujet sur notre site).
On lit dans cette page publicitaire que ces trois portfolios de cette maison d’édition sont imprimés selon le même procédé de « fac-similé d’aquarelle ». Pour le premier des deux volumes des Documents d’Ateliers (1898 et 1899), dirigés par Victor Champier rédacteur en chef de la Revue des Arts Décoratifs, Guimard a fourni deux planches lui permettant de figurer aux cotés des rénovateurs de l’art décoratif, mais a pris garde de ne livrer que des éléments plus anciens de sa production architecturale, en l’occurrence l’hôtel Jassedé qui date de 1893, et non des vues du Castel Béranger qu’il désire réserver à son portfolio.
Une attitude qui a autant excité la curiosité des critiques que donné au Castel un caractère mystérieux. Le 19 décembre 1896, Louis-Charles Boileau, dans L’Architecture, rédige le tout premier article à propos de cette construction nouvelle. Toutefois, il s’excuse de ne pouvoir détailler avec précision le bâtiment, ni d’illustrer son propos, n’ayant pas reçu en amont l’autorisation de l’architecte. Il précise alors que Guimard tient à « publier une monographie complète de son œuvre ». Seul un croquis de l’encadrement en pierre de la porte d’entrée a été accordé par Guimard, sous condition de lui restituer le cliché typographique une fois la parution du journal passée. D’ailleurs, Boileau ne semble pas s’en plaindre, soulignant qu’il n’y a pas plus respectueux de la propriété artistique que lui. Il invite alors ses lecteurs à se déplacer afin de juger par eux-mêmes de ce nouveau style « difficile à expliquer ». Cela ne l’empêche pas de faire, sur presque deux pages, une présentation assez détaillée du bâtiment, autant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Il conclut son article par quelques informations données par Guimard qu’il est intéressant de noter : « Tous les modèles, dessins ou maquettes ont été dessinés, faits par mes soins et sont ma propriété ». Tout en ajoutant les noms des artisans et entreprises qui ont œuvré pour le Castel. Guimard tient donc à prendre la posture du chef d’orchestre, et il semble qu’il ait voulu en imposer l’idée le plus tôt possible.
Quelques mois après la parution du portfolio, Guimard et la librairie Rouam s’assurent de la publication d’un opuscule d’une quarantaine de pages contenant deux « Études sur le Castel Béranger », toutes deux extrêmement laudatives.
Le premier texte est signé par Gustave Soulier, historien d’art et rédacteur de la revue Art et Décoration ; l’autre par un certain P. N. sous les initiales duquel on croit reconnaître Paul Nozal. Annoncé le 12 mai 1899 dans Le Moniteur des arts, puis sur d’autres supports, cet opuscule vient soutenir la récente exposition consacrée au Castel Béranger dans les salons du Figaro en avril et mai 1899.
Dans la presse spécialisée, la parution du portfolio suscite des réactions plutôt positives, dans la continuité de celles apparues suite à l’édification du Castel lui-même, comme en témoignent les deux articles suivants.
Article paru dans La Chronique des Arts et de la Curiosité le 4 février 1899 (avec la faute d’orthographe d’époque…)
« Au moment où Paris se décide à instituer, comme l’ont déjà fait d’autres capitales étrangères, des concours de maisons pittoresques en vue de remédier à la banale uniformité de la plupard de nos rues et de nos demeures, il est opportun de signaler une des tentatives les plus intéressantes qui aient été faites dans ce but, ces derniers temps, et qu’un luxueux album nous fait connaître en détail : le « Castel Béranger », récemment édifié rue La Fontaine, à Auteuil, par un jeune architecte de talent, professeur à l’Ecole Nationale des Arts décoratifs, M. Hector Guimard. Simple immeuble de rapport comprenant plusieurs corps de bâtiment, cette construction éveille, de prime abord, la curiosité et retient bientôt l’attention du passant, car on y sent plus qu’un vulgaire désir de nouveauté révolutionnaire, mais la traduction d’une idée logiquement déduite qui s’affirme de plus e plus fortement au fur et à mesure qu’on étudie l’œuvre dans ses parties. Cette étude intéressante, qu’il n’est pas loisible à tous de faire sur place, l’album que voici – où, depuis l’ensemble jusqu’aux moindres détails, tout l’édifice est reproduit en fac-similé d’aquarelles avec une perfection qui donne l’illusion de la réalité – nous permet de la faire tout à l’aise. Façades, portes, grilles, balcons, motifs sculptés, fontaine, fenêtres, vitraux, tapis, tentures, poignées de portes, verrous, cheminées, glaces, vases, etc… tout a été dessiné et exécuté spécialement pour cette demeure, tout révèle une imagination fertile, peut-être un peu exubérante, mais toujours séduisante, et l’on y constate un franc parti pris de tout accuser nettement, d’adapter parfaitement chaque objet à sa destination.
Un si considérable et si bel effort mérite assurément d’être encouragé ; il l’est déjà, paraît-il, par le succès qu’obtient, au point de vue de la location, l’édifice lui-même, et celui qui accueille, surtout à l’étranger, la luxueuse publication que nous signalons. Nous espérons que cet exemple portera ses fruits.
A.M. »
Article paru dans Le Mercure de France dans le numéro de juin 1899 :
« C’est une tentative courageuse de rénovation architecturale que celle à laquelle M. Hector Guimard vient d’attacher son nom. Le superbe album que j’ai sous les yeux contient soixante-cinq planches retraçant l’ensemble et les détails d’une construction d’un style nouveau, édifié à Passy (16, rue Lafontaine), et baptisée Le Castel Béranger. Il y a dans cette œuvre une passion d’art étroitement unie au souci d’être pratique, car, et c’est là un titre de plus à nos louanges, le Castel Béranger n’est pas un monument public, ni un palais particulier, mais une simple maison de rapport dont les loyers varient de 700 à 1500 fr. J’ai visité cet immeuble et j’ai été frappé de la commodité locative. On a souvent répété que l’art appliqué moderne manque de confortable. Je sais, de nos créateurs d’objets d’art les plus connus, de jolies chaises où j’ai crainte de m’asseoir, des miroirs à main qui pèsent un kilo et des chandeliers qui meurtriraient les plus adroits. Si l’œuvre de M. Guimard est du plus haut intérêt, c’est qu’elle est à la fois moderne, artistique et mieux aménagée que toutes les constructions analogues.
Ceux qui voudront se donner la peine d’étudier les planches du bel ouvrage publié par MM. Rouam et d’Hostingue se rendront compte facilement de ce qu’il y a de révolutionnaire dans cette architecture. Quelle que soit la façade que vous considériez, quel que soit le détail qui vous arrête, vous serez frappé par la volonté de l’auteur d’éviter ou de voiler les lignes droites. Il en résulte pour l’ensemble une impression de mouvement, de vie et de gaité qui semble bien neuve dans cet ordre de conceptions. En tous cas, M. Hector Guimard a développé son idée d’une manière complète, s’attachant logiquement à dessiner jusqu’aux moindres détails : papiers peints, étoffes, tapis, ferrures, pâtisseries, etc… Et pour parfaire son travail, il a même composé les meubles de l’appartement qu’il occupe dans la maison. Tout cela conçu selon une vue générale laisse la sensation qu’une énergie méthodique et scrupuleuse a soutenu l’architecte dans l’accomplissement de son œuvre.
Plusieurs confrères de M. Guimard avec lesquels je causais du Castel Béranger, lui reprochent avec raison l’abus de la décoration en coup de fouet. Autant, en effet, ce mode de décoration peut être heureux lorsqu’il est justifié, autant il peut devenir fatiguant s’il est superflu. Je crois que, dans l’œuvre qui nous occupe, il y a une répétition exagérée, parce que souvent inutile, des mêmes motifs en lanières.
En résumé, si la création de M. Guimard n’est pas parfaite, c’est du moins un des plus importants efforts de l’architecture contemporaine et nous possédons si peu d’architectes qui soient des chercheurs que nous devons soutenir de toutes nos forces les rares hommes qui s’acharnent à s’évader des styles et des formules du passé.
Yvanhoe Rambosson
Bien évidemment, le Castel ne pouvait recevoir l’unanimité en termes de critiques positives dans la presse. Guimard est un architecte qui cherche à interroger nos connaissances et nos ressentis, à faire naître en nous une attitude d’observateur. Du fait de cette subjectivité mise en éveil, chacun a tenu à donner son avis et discuter à propos de cet « art nouveau ». André Hallays, journaliste et auteur de nombreuses plaquettes sur l’architecture ancienne, est fréquemment en colère contre certaines formes de modernités qu’il ressent comme une agression. Il sera d’ailleurs plus tard l’auteur de plusieurs attaques contre les entrées de métro de Guimard. Pour l’heure, dans le numéro du 7 avril 1899 du Journal des débats politiques et littéraires, il écrit :
« Si l’on veut mesurer le mal que peut faire aux artistes l’éternelle remontrance de certains esthètes criant sans relâche : « Du nouveau ! du nouveau ! faites-nous du nouveau ! » il faut aller voir le castel Béranger. Assurément, cette maison n’est point banale, elle est même extravagante. On voit bien, on voit trop, quelle pensée a ici obsédé l’architecte. Son idée fixe, qui se trahit partout, de la porte du vestibule jusqu’aux combles, c’est de rompre avec toutes les traditions, et de protester contre toutes les conventions. Généreux desseins ; seulement, la protestation continuelle, la protestation irréfléchie, devient vite intolérable, tout comme la pire des routines.
« C’est une des manies les plus absurdes de l’architecture contemporaine que la superstition de la symétrie. » -Soit ! Mais si les fenêtres sont de hauteurs et de largeurs diverses, si la façade avance et rentre de place en place, encore faut-il que ces irrégularités mêmes se soient point de simples fantaisies et qu’elles soient commandées par la logique générale de la construction. Ici, c’est de la pure incohérence.
« Rien de triste comme les froides et incolores façades de pierre, rien de sot comme le mépris des constructeurs pour la charmante diversité des matériaux. » – Fort bien ! et il est naturel d’associer la pierre, le fer, le bois, la fonte, les grès flaminés, les briques de toutes couleurs et les briques émaillées aux tons brouillés et pâles (il y en a d’exquises au castel Béranger) ; mais il est indispensable que tous ces éléments se fondent en un tout harmonieux. Hors, les matériaux divers sont présentés sur cette façade comme une carte d’échantillons.
« Enfin, il est urgent d’en finir avec tout le décor classique, avec les ordres, les guirlandes, les consoles à volutes, les têtes de Gorgones, les coquilles, les urnes, les cassolettes et les feuilles d’acanthe. » – Tout le monde est là-dessus d’accord. Seulement il importe alors de découvrir dans la nature le principe d’une décoration nouvelle et rationnelle. Mais que viennent donc faire aux balcons tous ces masques diaboliques ? Et ces informes ornements de grès ? Que veut dire le dessin baroque des fers et des cuivres qui ornent les portes, les vestibules et jusqu’aux soupiraux, sorte de paraphe gauche et grêle ? Pourquoi sur les vitraux ces bariolages imprévus pareils à des zigzags de foudre ?
C’est vraiment une maison de cauchemar. Je n’en ai pas visité l’intérieur. Mais on voit, pour le moment dans le salon d’exposition du Figaro, quelques échantillons des meubles, des tentures et des cheminées du castel Béranger. Ils sont, je le veux bien, en harmonie avec l’aspect extérieur de la demeure. Mais on frémit à la pensée de vivre au milieu de ces choses convulsées et tordues.
Regardez seulement la sonnette, la fantastique sonnette de la porte d’entrée et dites si la seule idée de tirer, chaque soir, cet engin terrifiant et mystérieux ne donne pas le frisson …
Je traverse Passy où, de tous côtés, s’élèvent encore des façades, de lamentables façades, qui, celles-là, n’ont d’original que leur paradoxale lourdeur. Je me sens un peu plus indulgent pour les excentricités du castel Béranger. »
Il semble que le portfolio du Castel Béranger aurait pu avoir une postérité. C’est bien ce que pourrait avoir annoncé un entrefilet paru dans le deuxième numéro de la Revue d’Art (revue dont Guimard avait dessiné la couverture) parue le 11 novembre 1899
« Les meubles si intéressants qui illustraient l’article de notre excellent collaborateur Frantz Jourdain, sont le complément du Castel Béranger de M. Hector Guimard et feront partie d’une nouvelle édition de cet ouvrage, considérablement augmenté. Un nouveau succès que se prépare la librairie Rouam et M. d’Hostingue, son habile directeur. »
C’est effectivement dans le premier numéro de la revue qu’un article de Frantz Jourdain est illustré par de nouveaux meubles de Guimard. Il est donc probable qu’en prévision de l’Exposition Universelle, Guimard prévoit de présenter au sein d’une nouvelle publication luxueuse ses créations architecturales plus récentes, ainsi que des ensembles mobiliers témoignant de l’évolution rapide de son style. Mais, malheureusement, ce second portfolio ne verra jamais le jour.
On peut penser qu’en raison de son prix élevé, le portfolio du Castel Béranger ne connut pas un grand succès de diffusion et la maison éditrice ne le fit probablement pas rééditer. En acquérir aujourd’hui un exemplaire est désormais un exercice assez onéreux. Celui vendu sur eBay en 2014 a dépassé les 5 000 euros. Mais d’autres options sont possibles. On peut en acquérir une reproduction, comme celle produite par le Musée Villa Stuck à Munich, présentée au sein d’un livre qui est régulièrement disponible sur eBay :
La reproduction en fac-simile du portfolio avec ses planches et son cartonnage, éditée en 1997 par l’éditeur italien Electa, peut se trouver à l’adresse suivante :
http://www.electaweb.it/catalogo/scheda/978884356212/it?language=en_EN
On peut enfin en télécharger les planches au format PDF grâce à l’ETH-Bibliotheck de Zürich qui le propose à cette adresse :
http://www.e-rara.ch/doi/10.3931/e-rara-27774
Les planches du portfoliio du Castel Béranger illustrant cet article ont été tirées de ce site.
Agathe Bigand-Marion,
Laurent Bouttaz,
Frédéric Descouturelle.
Merci à Olivier Pons qui a fourni les publicités parues dans Bibliographie Française en 1900.
Un grand nombre de références sont tirées du catalogue de l’exposition Guimard au musée d’Orsay en 1992, sous la direction de Philippe Thiébaut, éditions Musée d’Orsay/RMN, ainsi que de l’ouvrage de Georges Vigne et Felipe Ferré, Hector Guimard, paru en 2003, éditions Charles Moreau & Ferré.
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